DemenceClic

Pour les aidants

Différents types d'aide

  • Mairie et conseil départemental : A contacter pour des demandes d'aides financières, pour récupérer des coordonnées, etc.
  • CLIC : Informe les patients et aidants sur les prestataires locaux, les démarches à réaliser, etc.
  • CCAS : A contacter pour des demandes d'aides financières.
  • Les formations pour l'aidant : Organisées par des associations ou des structures médico-sociales. Informent sur la maladie, les différentes aides financières, etc. Souvent gratuites.

Trouver de l'aide à proximité


Exemple de contenu de la consultation annuelle dédiée à l'aidant

  • Examen psychologique : risque de dépression, anxiété, troubles du sommeil (rechercher des signes d'épuisement et d'isolement, une consommation augmentée d’anxiolytiques, anti-dépresseurs et somnifères) - grille mini-Zarit
  • Examen cardio-vasculaire régulier : risque augmenté d'HTA, de maladies coronariennes, etc.
  • Examen général : risque infectieux augmenté du fait d'une diminution des défenses immunitaires, surveillance nutrionnelle, décompensation de maladies chroniques, etc.
  • Réaliser les campagnes de dépistage classiques (dépistage cancer colo rectal, mammographies, frottis, etc.).
  • Penser aux vaccinations DTP(c), anti-grippales, etc.

Dépister d'éventuelles difficultés

Fiches conseils pour les aidants :

  • Conseils généraux et de soins
  • Conseils de communication
  • Fiche de savoir-être et savoir-faire
  • Fiche des "à faire" et "à ne pas faire" en cas de troubles du comportement
  • Vérifier l'adéquation des aides avec l'état de santé du patient :
  • Demander une réévaluation du plan APA si l'état de santé du patient se modifie.
  • Ne pas hésiter à solliciter une assistante sociale, mais aussi les caisses de retraite, les complémentaires santé, les mairies, les conseils départementaux, etc. pour trouver des financements.
  • Si l'aidant héberge le patient :

La maltraitance peut être d'ordre physique, psychologique, financière, etc. Elle est intentionnelle ou non (par négligence, épuisement, manque de formation, etc.)

Il est important de la signaler, qu'elle soit prouvée ou présumée. Le secret professionnel doit être levé. En effet, la non assistance à personne en danger en cas de maltraitance est punissable 3 ans de prison et de 45 000 euros d'amende (223-6 du Code Pénal ).

Quelles sont les démarches à entreprendre ?